Question-réponse
Vérifié le 21/09/2023 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre) À la fin de son CDD, le salarié touche dans certains cas une prime dite prime de précarité. Cette prime est égale au minimum à 10 % de la rémunération brute totale versée durant le contrat de travail. La prime est versée selon le type de CDD effectué. La prime de précarité est versée au salarié à la fin du CDD. Elle n'est pas versée en cas de : Un simulateur de calcul de la prime de précarité est disponible :
Service en ligne La prime de précarité est versée au salarié à la fin du contrat d'intérim. Elle n'est pas versée en cas de faute grave du salarié. Un simulateur de calcul de la prime de précarité est disponible :
Service en ligne La prime de précarité n'est pas versée à la fin du contrat de professionnalisation. La prime peut être toutefois versée si la convention collective l'indique. La prime de précarité n'est pas versée à la fin d'un contrat unique d'insertion. La prime peut être toutefois versée si la convention collective l'indique. La prime de précarité n'est pas versée à la fin d'un contrat d'accompagnement dans l'emploi. La prime peut être toutefois versée si la convention collective l'indique. La prime de précarité n'est pas versée à la fin d'un contrat d'apprentissage. La prime peut être toutefois versée si la convention collective l'indique. La prime de précarité n'est pas versée à la fin d'un contrat d'usage. La prime peut être toutefois versée si la convention collective l'indique. La prime de précarité n'est pas versée à la fin d'un contrat étudiant. La prime peut être toutefois être versée selon les usages de l'entreprise. Les secteurs d'activité ayant recours à l'emploi saisonnier sont principalement l'agriculture (contrat de vendanges, par exemple), l'industrie agro-alimentaire ou le tourisme de vacances (emplois de moniteurs de skis, par exemple). La prime de précarité n'est pas versée en principe à la fin d'un contrat saisonnier. La prime peut être toutefois versée si la convention collective l'indique.Le salarié touche-t-il la prime de précarité à la fin d'un contrat de travail ?
Calculer l'indemnité de précarité d'un salarié
Calculer l'indemnité de précarité d'un salarié
La mise à jour du livret de famille est bien plus qu’une simple formalité administrative ; c’est un acte chargé de symboles, marquant l’évolution d’une famille au fil du temps. Ce modeste document, parfois négligé dans son importance, devient le témoin fidèle des grandes étapes de la vie.
À travers les années, le livret de famille devient le réceptacle des souvenirs les plus précieux. Chaque naissance y est consignée avec soin, gravant dans ses pages l’arrivée d’un nouveau membre dans le cercle familial. Chaque mariage y est inscrit, célébrant l’union de deux êtres dans l’amour et la promesse d’un avenir commun.
Mais le livret de famille ne se limite pas aux joies des commencements. Il reflète également les épreuves surmontées et les changements survenus. Les divorces et les séparations y laissent leur trace, rappelant que chaque chemin familial comporte ses hauts et ses bas. Les décès sont également enregistrés, témoignant de la perte d’êtres chers et de leur place indélébile dans l’histoire familiale.
Ainsi, la mise à jour du livret de famille devient un rituel chargé d’émotions et de significations. C’est l’occasion de revisiter le passé tout en se tournant vers l’avenir, de reconnaître les liens qui nous unissent tout en honorant les épreuves surmontées. C’est un acte de préservation de l’histoire familiale, une manière de perpétuer le récit de ceux qui nous ont précédés et de préparer le terrain pour les générations futures.
En fin de compte, la mise à jour du livret de famille transcende sa simple fonction administrative pour devenir un symbole puissant de l’unité familiale, de la résilience face aux défis et de la continuité à travers le temps.